Après un week-end de 3 jours ensoleillés sans ordi enfin presque j’ai quand même regardé mes mails une fois et sans télé c’est très dur de retrouver la motivation pour blogguer…(et même retrouver la motivation tout court d’ailleurs).
3 jours dans le Morbihan pendant lesquels on s’est balader, on s’est reposer au bord de la mer, on s’est éclater dans les toboggans de la piscine, on a flâné dans les ruelles du marché, on s’est fait bouffer par les moustiques, tout ça sous une chaleur digne d’un mois d’aout. Un long week-end de la pentecôte vraiment dépaysant. Et mon dieu que ça fait du bien!
Bon le camping et bien ça reste du camping: on dort mal, on a chaud, on voit des bêtes bizarres à nos pieds, on croise les campeurs au réveil vêtus de leurs plus beaux pyjamas, on devine ce que ton voisin a mangé y’a qu’à allez voir où il a fait la vaisselle, il en reste encore, bref un régal la vie au grand air…
Vous comprenez pourquoi on ne voulait pas rentrer….
Arrivés à la maison, il faut maintenant ranger les sacs, faire les machines, et puis surtout retrouver de la motivation, car c’est similaire à un retour de vacances pour s’y remettre c’est très très dur!
Allez c’est le retour à la réalité…
C’est vrai que parfois ne serait ce que 3 jours ça dépayse et on déconnecte tellement qu’on a du mal à s’y recoller – allez courage on est là et on t’attend le matin oh hé !!! lol
le morbihan, j’adooooooore! ça fait du bien de partir hein? mdr
de bons souvenirs pour reprendre la semaine en tous cas!
@Boloms , oui dur retour! on a déjà repris la routine!
@maman@home , dépaysement total et dur de s’y remettre, mais c’est juste la 1ère journée après hop c’est reparti!
@juju , c’est vrai que c’est très chouette la Morbihan on y retournera pour visiter autre chose
@ Savon , oui très bon souvenir ces 3 jours de détente
@Oum , après les superbes vacances que tu as passées je comprends bien que c’est très dur pour toi aussi!
Je connais pas du tout cette région mais la piscine avec ses toboggans donnent bien envie…
Pareil ici pour la motivation, c’est dur, très dur…